Bang Bang You'Re Dead

La porte s'est fermée. Et je suis seule, avec un mec super qui joue à la Playstation. Mais je suis seule. A la maison.
Y'as trop de choses dans ma tête, c'est pour ça que j'ai mal, c'est pour ça que je peux plus penser, c'est pour ça qu'on croit que j'ai un problème mental. Genre, j'ai quelque chose à dire, à vous dire. A vous, bandes d'imbéciles. Style, j'vous parle, j'vous aime bien, c'est bon tu'm connais. Ma parole, la drogue trop pas qu'ça vous l'fait! Parce que déjà, l'argent faut le trouver mon pote, ouais, faut souffrir, faut faire comme un héros pour, un jour, percé. C'est comme ça qu'ils naissent les businessman. Ou -woman comme tu veut. Faut faire des sacrifices, clair, y'en a ils connaisent pas ça. C'est pas leur faute, mais des fois ils se trompent, avec leurs blagues à deux balles, c'est beaucoup. Achète toi un livre, tu vas pas mourir de faim. T'as qu'a tendre la main. Et, une pièce tomberas, si t'as t'la chance, car faut dire, les aveugles ça existe.

Ton prof  s'entêtait toujours à nous bourrer ses choses là dans le crâne, il répetait, et répetait, comme un disque rayé. Mon père utilisait beaucoup cette expression, mais ses paroles, ne se répetaient jamais, et si c'était le cas, je ne m'en lassait pas.
Bref, j'te disais mec, arrete de te la racler, moi j'te ramènes ces putains de groupes, en moins d'deux t'es mort, t'es giflée. Fait attention mec, on joue pas avec ses gars là, comme ceux-ci ne jouent pas avec moi. Retient, retient bien ça dans ta tête, si t'en as.

T'sais y'as des choses tu t'demande pourquoi. Grave, putain rentre chez toi, raconte pas n'importe quoi.
Des gens, pour de vrai ils ont rien, alors vient pas, non vient plus nous embobiner et nous sortir ton baratin. Tu comprend rien. Jamais, sauf quand y'as une connerie qui siffle. Tu périras, comme tous. T'auras ton compte, cours toujours. T'y échapperas pas. Tu feras rien de ta vie. Ouais, ouais, rien.
Tu ferras rien de bien de ta vie, vie normale quoi. Vous aimez ça. On dirait. La médiocrité. Fait pitié.
Mais tu vois, moi j'suis pas toi, moi j'suis pas vous, moi j'suis moi, point. J'veux grandir, et surtout que les années passent lentements, pour profiter, apprendre à fond.
Prof de français, Secrétaire, agent de police, ou je ne sais encore... hein ? Ah oui, métier idéal, salaire pas super mais stable. C'est bien. Bien c'est pas suffisant, tu le sais, mais tu cherche pas à voir plus loin.

J'ai raison vient pas me contredire. J'voudrais trop pas te faire mourir.
Et puis y'en a qui s'amusent bien avec leurs groupe de soi-disant rock, c'est super la vie le gamins.
Franchement, bravo (va te faire foutre)!
J'vous aime bien. Ouais, ouais, vous êtes cool. Vos chansons aussi, sauf que je m'ennuie, oui, certes je ne comprend point ce vocabulaires et touts ces mots ne sont point dans mon lexique. Je sais bien que l'erreur est humaine ... MAIS PERSEVERER EST DIABOLIQUE.
Dieu, j'y crois. au chiotte le diable, au chiotte triste petit morveux satanique.(soi-disant)
Le diable c'est la médiocrité.

Et puis j'ai le coeur brisé, en milliers de morceaux, ou serait-ce des millions, j'ai ouïe une fine voix, je ne sais comment elle vint, ceci disait-elle "je crois bien avoir compter des milliards, des milliards de perles, de diamants, non, de plus-que-précieux, oui c'est bien cela. Tu es plus-que-précieuse ma douce."
Je vous aime tous, je n'ai jamais vraiment aimé ça, mais j'ai l'obligation de vous énuméré, pour point de confusion, donc, je vous aime plus que tout, que tout, *Manon Colange, j'ai entendu ton message, tard, évidemment, mais je t'adore, comme on adore une fleur à qui des mots sortent de sa rouge bouche comme des papillons. Des papillons, des pétales de fleurs dansant avec cette brise. Je t'envie. Mais plus que tout je t'aime. *Sarah Garcia, tu es bien la plus ancienne amie que je connaise, depuis toutes petites, et tes frères ils sont marrants. J'ai passé de tels moments avec toi, que tu m'en laisse des souvenirs superbes. Tu devrais passer plus souvent ici, à la ville, j'ai l'impression que tu pourris là-bas, avec toutes ses histoires, je sais bien que ça t'agace parfois. Mais je n'y peut rien, j'ai hâte que ça soi les  vacances, vraiment. T'es folle ma fille. Tant mieux. *Maud, toi et ta jumelle vous êtes vraiment sk8 !!! lol je sais _ça sert ça rien mais margaux elle aussi est sympa, je sais pas je pensais à toi, cela n'as rien à voir avec l'article, enfin si, puisque tu es ma femme et camille mon mari. Arreter de vous disputez les filles, vous êtes trop super pour ça. *Monica, je sais pas je pensais à toi aussi, mais t'es pas mon amie, t'es ma soeur. I ♥ you, my little sister! *Yasmine, allemande, en 10 jours, 3 langues, nous nous sommes entendues à merveilles, même si des fois on avait des hauts et des bas, j'ai su qu'elle pleurait principalement pour moi et un garçon, j'ai su; trop tard. Je n'en ai verser aucune, mais dis moi, toi qui me connait si bien, je ne pleure plus, j'ai déjà tellements pleurés pour des rêves inachevés ou encores tout ces cd oubliés, oui tu sais bien toi, que des fois, mes yeux aussi, sont fatigués. *Delphine, j'ai voulu et je te cite, même si on n'est plus amies, je me rappelle que chaque fois on passait pour des échappées de Vinatier, et ça je l'oublierait jamais, c'est dommage, très dommage parce que t'es super comme fille. Vraiment. Je regrette et Vic, Manon, MArie Delzenne (putain, comment elle déchirait tout c'te fille!), Agathe et surement toi, regrettaient sûrement les Kawais, ça as durée toute notre 5°, puis Man et Cury sont parties, comme ça, on s'est mutuellement trahies d'un côté, mais de l'autre, ona vait pas trop le choix. Vous avez comme même était mes meilleures amies pendant cette année. Je ne vous oublierais jamais. *Puis y'as es autres chouchoutes laura, a-c, a-s avec qui j'ai un peu perdu contact. Mais bon, je vous aime quand même. *France, sache que même si tu crois que je ne te cause plus, tu es toujorus mon amie, enfin, ça c'est dégrader à cause de "l'accident".  Toi aussi t'es une folle.

---Puis y'as les copines d'aventure, que je chéris tellements que des fois je manque de les étrangler lol, margaux, mélanie, prisca,  et claudia que je respecte avc qui je devrait  passer + de temps.  Y'as les cops de my little brother, sonia et clémence et d'autres... Toutes les autres vous êtes sûrement des filles pas mal dans l'fond quoi, mais j'ai pas que ça à faire, vous aider à vous sortir de là, j'ai pas envie, j'vous laisse crever tranquilement. lol, non j'retire, mais sois t'es courageuse et t'es assez forte pour etre ce que t'es sois t'es qu'une merde. C'est cruel. Comme toutes les choses qui existent, gamin.

... Katie j'aimerait tellement habiter à montpellier et que moi et toutes ces merveilleuse personnes et toutes celles qui voudront bien nous aimer vivions une vie merveilleuse avec des instant plus-que-précieux (oui je sais c'est mon invention) !!!!

J'aurais aimé que vous soyiez là, tout près de moi, en rose me vernissant les doigts.

Sur ce, LONG LIVE AUX LIBERTINES!!!

*C'est dur, à accepté, la vérité;  mais on est pas obligé tu sais, t'est pas obligé de le faire.
On n'est pas des chiens, on n'exécute pas les moindres gestes que l'on conmande. Tu sais.
Tu sais tout, t'es le chef, t'es toujours là pour nous corriger, mais on est pas des chiennes, les tiennes.
Pas de caprice aujourd'hui chéri.


*Un jour, le soleil brilleras de toutes ces forces, ça vous détruiras sûrement, mais moi, je sortirais et je courerait, je danserais dans l'herbe verte, je cueillerais les cerises de ce bel arbustre, à pleines dents, puis je t'embrasserais, je savourerait ces derniers instants.
J'attendait ça depuis tellement de temps, impatiemment.


*S'il y a quelque chose que je regrette, c'est de pas être cette personne, d'être ce que je suis, ce que pourquoi je vis.
J'ai plus envie, de m'apitoyer sur mon sort mais si ça se fait pas guérir ça vient et sa vous arrache les tripes, c'est pour ça que j'aurais voulut être plus forte et plus grande et aussi une princesse avec ses gardes du corps pour veiller sur moi.
Au diable le prince charmant.


*Il neige, fait froid, ciel gris et bon débarras. J'veux partir, loin, on dit que c'est fun l'aventure, Be cool, dans le vent, les cheveux  tourbillonant. Des palmiers, les revoirs s'amuser et parler entre eux. Je veux tellements de choses, je ne  cherche pas plus, je ne suis vraiment bête. Vraiment.  Je n'arriverais à rien, mais j'arrive à écrire ça.
Faut pas donner de l'importance à des choses qui ne valent rien, tout ce qui est autour de toi, si t'en a marre une de ces 4, pars.


*Je sais, je suis nulle, pour vous. Je suis trop parreseuse, je sais, mais bon, tu sais quoi ? Ce soir tu vas pas m'embêter avec tes paroles qu'on retient comme agaçantes. Tu m'ennuie. Y'as les jolies choses de la vie, elle devraient prendre tout le temps, ça serait génial chéris. La réalité, c'est qu'il a de la chance et pas de la chance. Putain, j'ai mal à la tête, j'suis peut-être brulante. Avoir la classe mais bof. Envie de casser des vitres. Vous êtes qu'une bande de connards, le monde est une bande de connard, je ne veux pas entendre parler de dieu et encore moin de satan, on vous détruit à coup d'oeils. Sales miochettes.
je ne prend pas les sans-issue qu'est le bon et mauvais chemins, je prend le seul qui existe, le mien.
Good Night n' Good Luck !
Rien dans la tête, rien que tu vin, aussi rouge que le sang vrai, ça coule à vous dérouter l'esprit et vous finisez sur le lit.


*Tu vas me laisser, faire ce que je veux, encore uen autre comme ça, et je te casse la figure. Mal aux dents.
Tu veux vraiment crever, fuguer.
A la première difficulté, une balle dans la cervelle. Tu te repete. tu vas me laisser.
Je ferme mes paupières pense à tout ces moment que l'ont qualifieras comme étrangement et fabuleusement rock'n roll.  Mais j'aimerais revivre. 
Comme des taréés. Ses fins. French manucure.
Les larmes au yeux, sur la joue un filet d'eaux, tu es si fantastique, la personne la plus fantastique que j'ai jamais connue.
Devant la ville illuminé, c'est comme ça que je veux mourir, so delicious.
So cute baby.
Tout ces mecs que j'ai aimé, c'était super.

Parce que je n'aime rien d'autre que la musique, encore plus que moi.
La seule chose.

Ne tinquiète pas, demain, j'espère, ça iras mieux.

My Darling Pete
You're very                                  Carlos, i'm lost!!!!!!!!!
      Sweet

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Roses are Red
Violets are Blue
Sugar is Sweet
And so are You

Je sais que je suis pathétique. Je le sais. Ne gaspille pas ta salive.
C'est avec horreur que je me leve tout les matins, que je découvre mes cheveux en bataille, mon haleine pas très fraîche, mes yeux endormis, mon front brûlant et mon coeur aussi lourd qu'un rêve brisée. Car je croyait que c'était vrai, ce rêve. Je m'en souvient toujours, je m'en souviendrais toujours. on n'oublie pas ce genre de rêve. Rêve si près de la réalité que tu peux le toucher, le sentir, le changer.

Changer ma vie, me changer moi, à ma guise, comme on change de de tenue 5 fois par jour, avant de trouver celle du soir, l'idéale, celle pour plaire, l'idéale, celle pour danser.
Genéralement, la tenue, sûrement une robe, ce n'est plus la peine de la chercher au réveil, car tu trouve une chaleur qui te frôle les hanches, un homme, ou femme au choix.

J'ai une amie qui s'est fait tout refaire et qui as couché avec un homme marié, pleins d'hommes mariés, elle était leur maîtresse, elle n'avait que 16 ans pourtant. On l'as viré. Comme une salope.
Personne ne l'as voulu, ces parents, criminels assagits, ce prenaient pour des sages, ou des psy, des personnes cultivés avec énormément d'expérience.
Je l'ai soutenue, elle ne fesait plus ça, elle n'attirait plus l'attention, plus comme avant, elle n'avait certainement pas la classe, ni l'élégance ni rien, ce n'était qu'une pute qui buvait du vodka dans les toilettes du lycée avec sa bimbo friquée, qui elle, ne s'est pas faite virée.
Le fric, c'est tout.

Je me lasse des connaisances comme ça. Je prefères les jeunes filles riches certes, mais qui, elles au moins, on réussis à faire quelque choses de leurs vies, je sais pas, genre, elle on reçut une bourse et se sont achetés une décapotable rouge avec.
Les filles avec lesquels ont peu joué à

la Playstation

Y'as Pete aussi, et carl. The libertines, Babyshambles, Dirty Pretty things; Le 1er est à retenir les 2 autres à oublier, le premier est rock'n roll, les 2 autres croient l'être, mais ne le sont pas, ils ne l'ont jamais été. Bref, le 1er mérite tout, les 2 autres de se la fermer et d'arreter de nous faire chier avec leurs gamineries. Il faut grandir a dit ma tante le jour de mes 12 ans, en me tendant une coupe de champagne, ou de whisky, je crois que c'est les 2 mélangés, elle aime bien les mélanges... explosif!

Je ne suis pas une groupie, ni une groupie de luxe, je suis bien plus exitante que ça, et j'ai des principes de charme, qui en me permettent pas de me rabaisser, puis un rockeur, c'est qu'un rockeur, c'est pas un prince bien clean multimillionaire ou même multimilliarde, qui pourras m'offrir le centre commercial de new-york ! Yeah !

Aurevoir, je m'en vais vers ce qu'on peut apeller: folie de la nuit.

"J'aime la nuit avec passion. Je l'aime comme on aime son pays ou sa maîtresse, d'un amour instinctif, profond, invincible. Je l'aime avec tous mes sens, avec mes yeux qui la voient,a vec mon odorat qui la respire, avec mes oreilles qui en écoutent le silence, avec toute ma chair que les ténèbres carresent. Les alouettes chantent dans le soleil, dans l'air bleu, dans l'air chaud, dans l'air léger des matinées claires. Le hibou fuit dans la nuit, tache noire qui passe à travers l'espace noir, et, réjoui, grisé par la noire immensité, il pousse son cri vibrant et sinistre.
Le jour me fatigue est m'ennuie. Il est brutal et bruyant. Je me lève avec peine, je m'habille avec lassitude, je sors avec regret, et chaque pas, chaque mouvementn chaque geste, chaque parole, chaque pensée me fatigue comme si je soulevais un écrasant fardeau.
Mais quand le soleil se baisse, une joie confuse, une joie de tout mon corps m'envahit. Je m'éveille, je m'anime. A mesure que l'ombre grandit, je me sens tout autre, plus jeune, plus fort, plus alerte, plus heureux. Je la regarde s'épaissir, la grande ombre douce tombée du ciel: elle noie la ville, comme une ondeinsaisisableet impénétrable,elle cache, efface, détruit les couleurs, les formes, étreint les maisons, les êtres, les monuments de son imperceptible toucher.
Alors j'ai envie de crier de plaisir comme les chouettes, de courir sur les toits comme les chats; et un impétueux, un invincible desir d'aimer s'allume dans mes veines.[...] "

 
Extrait de La nuit de Maupassant.