I'm fed up with you, Stupid Boy
Je sais que je suis pathétique. Je le sais. Ne gaspille pas
ta salive.
C'est avec horreur que je me leve tout les matins, que je découvre mes cheveux
en bataille, mon haleine pas très fraîche, mes yeux endormis, mon front brûlant
et mon coeur aussi lourd qu'un rêve brisée. Car je croyait que c'était vrai, ce
rêve. Je m'en souvient toujours, je m'en souviendrais toujours. on n'oublie pas
ce genre de rêve. Rêve si près de la réalité que tu peux le toucher, le sentir,
le changer.
Changer ma vie, me changer moi, à ma guise, comme on change de de tenue 5 fois
par jour, avant de trouver celle du soir, l'idéale, celle pour plaire,
l'idéale, celle pour danser.
Genéralement, la tenue, sûrement une robe, ce n'est plus la peine de la
chercher au réveil, car tu trouve une chaleur qui te frôle les hanches, un
homme, ou femme au choix.
J'ai une amie qui s'est fait tout refaire et qui as couché avec un homme marié,
pleins d'hommes mariés, elle était leur maîtresse, elle n'avait que 16 ans
pourtant. On l'as viré. Comme une salope.
Personne ne l'as voulu, ces parents, criminels assagits, ce prenaient pour des
sages, ou des psy, des personnes cultivés avec énormément d'expérience.
Je l'ai soutenue, elle ne fesait plus ça, elle n'attirait plus l'attention,
plus comme avant, elle n'avait certainement pas la classe, ni l'élégance ni
rien, ce n'était qu'une pute qui buvait du vodka dans les toilettes du lycée
avec sa bimbo friquée, qui elle, ne s'est pas faite virée.
Le fric, c'est tout.
Je me lasse des connaisances
comme ça. Je prefères les jeunes filles riches certes, mais qui, elles au moins,
on réussis à faire quelque choses de leurs vies, je sais pas, genre, elle on
reçut une bourse et se sont achetés une décapotable rouge avec. la Playstation
Les filles avec lesquels ont peu joué à
Avec elles, on peu aussi, partager son mec, presque inévitablement gay qui se
fait votre frère aussi.
Ou votre meilleure amie, vive les fuckfriend, pas de tabou. Et on est tous
bisexuels, nous sommes libres, disait une copine à ta mère, nous sommes libres
d'être sex-symbol !
C'est bien beau tout ça, mais faudrais pensez à quelque chose d'important, très
important, quelque chose qui me parait un peu possible, enfin tout de suite.
J'aimerait faire un groupe comme les destiny's child ! Elles ont pas le
physique les pauvres, et béyoncé est si coincé ! My god, j'ai bien dit My God
!!!!
La chirugie esthétique ne lui as pas bien servie, ni les montages photos
d'ailleurs. Ce pendant elle est mieux que Kate Moss.
Kate Moss est une mocheté ambulante, il n'y as pas pire, ou égalité ! France !
C'est désespérant, même mon arrière grand-mère est mieux quelle ! Ma mère dis,
qu'elle a eu de la chance, elle est apparue quand la mode était en crise... de
bon goût. Et maintenant on la garde car, le fashion est têtue, il est mauvais
perdant aussi. Et puis on fait comme si on venais de s'apercevoir qu'elle était
dépendante, elle aussi.
Y'as Pete aussi, et carl. The
libertines, Babyshambles, Dirty Pretty things; Le 1er est à retenir les 2
autres à oublier, le premier est rock'n roll, les 2 autres croient l'être, mais
ne le sont pas, ils ne l'ont jamais été. Bref, le 1er mérite tout, les 2 autres
de se la fermer et d'arreter de nous faire chier avec leurs gamineries. Il faut
grandir a dit ma tante le jour de mes 12 ans, en me tendant une coupe de
champagne, ou de whisky, je crois que c'est les 2 mélangés, elle aime bien les
mélanges... explosif!
Je ne suis pas une groupie, ni une groupie de luxe, je suis bien plus exitante
que ça, et j'ai des principes de charme, qui en me permettent pas de me
rabaisser, puis un rockeur, c'est qu'un rockeur, c'est pas un prince bien clean
multimillionaire ou même multimilliarde, qui pourras m'offrir le centre
commercial de new-york ! Yeah !
Aurevoir,
je m'en vais vers ce qu'on peut apeller: folie de la nuit.
"J'aime la nuit avec passion. Je l'aime comme on aime son pays ou sa
maîtresse, d'un amour instinctif, profond, invincible. Je l'aime avec tous mes
sens, avec mes yeux qui la voient,a vec mon odorat qui la respire, avec mes
oreilles qui en écoutent le silence, avec toute ma chair que les ténèbres
carresent. Les alouettes chantent dans le soleil, dans l'air bleu, dans l'air
chaud, dans l'air léger des matinées claires. Le hibou fuit dans la nuit, tache
noire qui passe à travers l'espace noir, et, réjoui, grisé par la noire
immensité, il pousse son cri vibrant et sinistre.
Le jour me fatigue est m'ennuie. Il est brutal et bruyant. Je me lève avec
peine, je m'habille avec lassitude, je sors avec regret, et chaque pas, chaque
mouvementn chaque geste, chaque parole, chaque pensée me fatigue comme si je
soulevais un écrasant fardeau.
Mais quand le soleil se baisse, une joie confuse, une joie de tout mon corps
m'envahit. Je m'éveille, je m'anime. A mesure que l'ombre grandit, je me sens
tout autre, plus jeune, plus fort, plus alerte, plus heureux. Je la regarde
s'épaissir, la grande ombre douce tombée du ciel: elle noie la ville, comme une
ondeinsaisisableet impénétrable,elle cache, efface, détruit les couleurs, les
formes, étreint les maisons, les êtres, les monuments de son imperceptible
toucher.
Alors
j'ai envie de crier de plaisir comme les chouettes, de courir sur les
toits comme les chats; et un impétueux, un invincible desir d'aimer
s'allume dans mes veines.[...] "
Extrait de La nuit de Maupassant.